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On est tous prêts à tout pour nos petits bouts, non ? On irait leur décrocher la lune si on le pouvait... C'est ce qu'ont fait Killian O'Neill et Geoffroy Blondel de Joigny alors qu'ils venaient d'être papas.

Acteur de la transition écologique, acteur de l’économie sociale et solidaire, et solution pour une bio exigeante, c’est ce que Biocoop ambitionne d’être. Pas moins ! Et il ne s’agit pas d’un effet d’annonce pour verdir son image. La preuve ! Ou plutôt résumé de preuves, sur un chemin de progrès permanent, continuum de ce qui a été initié il y a 35 ans. Autant dire que Biocoop n’en restera pas là.

La bio du département de l’Hérault est parmi les plus développées de France. Elle est diversifiée, néanmoins 60 % des fermes sont en viticulture. Elle rend tous les services que l’on attend d’elle en répondant à différentes problématiques : pollution des ressources naturelles, changement climatique, santé, emploi, commercialisation…

Le réchauffement climatique est palpable, la biodiversité est menacée partout dans le monde et l’écologie apparaît de plus en plus comme la seule alternative possible. Entreprises, consommateurs et institutions ne jurent plus que par elle. Cependant, le chemin semble encore long pour basculer vers une société en accord avec la nature. De quels moyens disposons-nous pour changer nos regards ? La force de la loi et des marchés ? Ou plutôt l’édification collective de nouveaux récits à inventer ?

Au premier regard, on sent qu'il est généreux, ce beau biscuit épais enrobé d'une appétissante couche de chocolat au lait. Et à la première bouchée, on n'est pas déçu : le craquant des noisettes, le moelleux des raisins secs, la texture croquante de la farine de riz... Le Crousti'choc noisette plaît à tout le monde, petits et grands, et il caracole en tête des ventes des biscuits bio mitonnés par Belledonne, et vendus au rayon vrac de votre magasin Biocoop.

Observateur amoureux de la nature, militant pour la protection de la biodiversité, l’adolescent de 15 ans publie Je rêve d’un monde…, plaidoyer d’un adolescent pour la biodiversité, vibrant appel à repenser notre rapport au vivant. Figure d’une jeunesse en rupture avec le vieux monde, il rêve d’une société « où le vivant est plus important que le profit ». Et nous invite à bousculer nos habitudes et nos décideurs en ce sens.